Vallica

Bonjour les pioupious,

désolée du retard, nous étions en vacances… et quelles vacances !
Connaissez-vous la Corse ? J'avais des à priori, positifs et négatifs. Ils ont tous été balayés…

Quand nous arrivons, accueillis par la famille, je reste un peu dans le brouillard du voyage, toute occupée par le bien être de mes petits.
Puis nous partons en voiture, pour rejoindre le village de Vallica… Alors que nous traversons la ville portuaire, je ne suis pas vraiment là. Mais quand, petit à petit, nous grimpons sur une route minuscule qui s'enrubanne autour des montagnes, j'arrête de penser. Je suis comme en état de choc.


La végétation est à la fois rude et foisonnante, on dirait qu'elle pousse sans se préoccuper du temps qui passe, de la chaleur et surtout de nous, insignifiants humains.


Le villages, les cimetières s'agrippent à la montagne et vivent leur vie. À part moi, je pense au village sicilien du Grand Bleu. Il y a des ruines envahies de végétations, sur les toits de briques des pierres ont été déposées pour éviter qu'elles ne chutent. Les panneaux de signalisation sont rudoyés partout. Des vaches aux yeux maquillés de khôl et aux panses rebondies nous surprennent aux détours de la route.


La Corse est vivante et elle a sa propre volonté, elle fonctionne à son rythme à elle pas vraiment lent, mais plutôt rude à la tâche, dans une volonté opiniâtre, une patience et une ténacité à toute épreuve. 


La Corse est puissante, dans ses parfums d'immortelles, dans sa présence sauvage, écrasée de chaleur et pourtant aux aguets.


Et ses habitants… On les sent eux aussi puissants, opiniâtres et forts.
Je n'ai reçu de leur part que gentillesse et sourires. Une réalité bien loin du tableau que je craignais, en continentale trouillarde !


Si j'ai un voeu à faire, ce sera le suivant : qu'elle reste sauvage et puissante, cette île. Qu'elle ne soit pas mise à genoux par des touristes sans respect ni cervelle.


Je comprends la crainte des Corses, même si je ne suis pas l'une d'entre eux. Bien sûr je n'ai aucune solution  à apporter… juste le bonheur d'avoir connu un tel coin, et de le savoir là. Juste le désir qu'il reste sauvegardé…

Alors, merci Vallica, Vanina et autres noms chantants !
Votre île est belle !

Hou, 21 ans déjà?!

Salut les pioupious…
On est le 19 janvier au soir. Demain, je bascule pour de bon dans la trentaine !
Quand j'y pense, je me demande ce que j'ai fait… On dit qu'une vie se mesure aux bonheurs qu'on y a trouvé. Alors, voilà une petite compil' !

Le bonheur, c'est…

1981 : les bras de ma maman
1983 : me planquer dans des cabanes, le lait fraise, les Petit Brun au goûter
1984 : l'arrivée de ma petite soeur, la tapisserie de ma chambre avec des oiseaux
1986 : marcher dans la neige avec mes moon-boots rose fluo
1987 : apprendre à lire, mon maître d'école
1989 : excursions dans les bois avec les copains du PGHM
1990 : dormir après la piscine
1991 : premier amour d'enfant, m'endormir avec le bruit lointain de la conversation des adultes à la Grange
1993 : les récrées vautrée dans l'herbe
1994 : premier amour d'ado
1997 : la Réunion, les amis, la plongée…
1998 : mon corps de déesse grecque, mes amis géniaux, mes parents confiants
1999 : bouquiner au Jardin Public de Bordeaux
2000 : une belle amitié pour le passage de l'an 2000
2001 : aller enfin me coucher à 8h le lundi matin
2002 : major de promo et de ma région
2003: dessiner pendant des heures
2005 : Pierre…
2006 : les amis de l'ECV
2007 : Pierre…
2008 : TypoGraphik
2009 : Gwen
2010 : fuir un manipulateur narcissique sans me retourner. En être fière.
2011 : Nath

Bonne nuit, alors… je retourne à la pêche aux souvenirs, moi.

Quelle belle fête !

Bonjour,
en ce lundi matin, j'ai envie de me souvenir un peu d'un chouette mariage…
C'était bien sympa. Je propose que l'on refasse ça tous les ans.
Les mariés avaient une idée de faire-part géniale, avec des pictos Monsieur Madame qui se tiennent le bras…

Et maintenant les différents pictos

Souvenirs, souvenirs…

Bonjour les pioupious,
séquence souvenirs : vous souvenez vous de… ceci ?
C'est une bonne partie de mon enfance pour ma part. Et heureusement qu'il n'y a pas ce genre de jeux sur mon ordi, sinon je ne bosserai plus… En tout cas j'espère que ça fera plaisir à certains de revoir ces images, en ce jour maudit de début de semaine.

Ma mère éclatait tous les scores là-dessus.

Plutôt pour ma frangine, ma cousine et moi.

Le jeu qui rend fou. Se déplacer dans un labyrinthe afin de se nourrir d'arbres (parfois des doppelgangers meurtriers), en risquant à chaque instant de se faire aspirer l'énergie  par une créature qui en plus fait des bruits d'outre tombe pour vous trouver… Toujours bouger, rha.

Et voilà, c'est tout !

Bon lundi les pioupious !

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